Insomnie, anxiété, troubles de l’attention, épilepsie et même handicap physique ou mental… Une
technique issue de l’électroencéphalographie, le neurofeedback, promet d’optimiser l’activité cérébrale,
donc l’état des malades. Venue des Etats-Unis, elle est restée cantonnée à un niveau expérimental
en Europe, jusqu’à l’apparition en 1999 d’un neurofeedback non médical venu du Canada.
Accessible à tous, le Neuroptimal, contrairement au neurofeedback classique, agit en dehors de l’activité
volontaire du patient. Assis dans un fauteuil avec cinq capteurs autour de la tête, celui-ci n’a qu’à
se relaxer en écoutant de la musique pour obtenir des améliorations parfois spectaculaires !
Alertés par plusieurs témoignages, nous avons mené l’enquête.
Article extrait de la revue « Néosanté » avril 2016